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Banc d'Essai HIFI LIVE MAGAZINE

Date de parution : Juillet 2018

Diffuseur : Hifi Live

Pays : Espagne

Objet du test : Amplificateur Intégré X250 MKI

Comparé àPas de comparaisons.

Les enceintesUsher Audio Mini Dancer DMD 2

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Remarques d’Omy Camis Audio :

Traduction partielle mais extensive du banc d’essai, seule une partie de la description et du fonctionnement du X250 n’a pas été traduite. Par mesure de rigueur, au risque de rendre la lecture moins commode, nous avons préféré mettre le texte original avec la traduction en dessous en italique et en gras. Le but étant de permettre aux lecteurs de constater la fidélité de la traduction par rapport au texte original. Nous avons respecté le texte pratiquement à la virgule près.

 

Contrairement au banc d’essai d’Audiophile Magazine, nous ne commenterons pas le banc car nous n’avons pas été en contact avec le chroniqueur et nous ne distribuons pas dans le pays d’origine du texte. Raison pour laquelle nous nous sommes décantés pour une traduction scrupuleuse mais pas si facile car le texte de base est d’excellente qualité littéraire.

 

Bonne lecture à tous et merci

LE TIGRE ORANGE

El Tigre Naranja

Deng Xiaoping dijo «No importa que el gato sea blanco o negro: mientras pueda cazar ratones es un buen gato.» Ese parece ser el paradigma que los holandeses de Extraudio han querido aplicar hasta sus últimas consecuencias. Son una joven y pequeña empresa con sede en Ámsterdam que diseña electrónicas al servicio del Hi-End más innovador, pero respetando los clásicos postulados del funcionalismo alemán, así: huyen de la obsolescencia programada, emplean cualquier técnica, material o esquema ya sean clásicos o actuales. No contemplan estrangular sus proyectos con restricciones en el presupuesto. Tampoco quieren crear productos que no puedan ser adaptados a necesidades presentes o futuras. Con la premisa minimalista de menos es más actualmente tienen un previo en clase A pura, una etapa de potencia en clase D y un integrado que fusiona ambos mundos en lo que ellos llaman clase “AD” que es el que analizamos en esta prueba.

Le Tigre Orange

Deng Xiaoping a dit « Peu importe que le chat soit blanc ou noir : tant qu’il pourra chasser des souris, c’est un bon chat ». Cela semble être la devise que les néerlandais de Extraudio ont voulu appliquer jusqu’aux dernières conséquences. C’est une jeune et petite firme dont le siège est à Amsterdam et qui développe des électroniques au service de la hifi High-End le plus innovateur tout en respectant les normes du clarissime postulé par le fonctionnalisme allemand. Ainsi, ils fuient l’obsolescence programmée et ils emploient toute technique, matériel ou schéma, classique ou moderne et n’ont aucune intention d’étrangler leurs projets avec des considérations d’ordre financier.

Pas plus que de concevoir des produits qui ne pourront être adapté aux besoins présents ou futurs. Partant du principe minimaliste que moins c’est plus, figure à leur catalogue actuel un préamplificateur en pure classe A, un amplificateur de puissance en classe D et un intégré qui fusionne les deux mondes et qu’ils nomment classe AD et c’est ce dernier que nous analysons dans ce banc d’essai.

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CONSTRUCTION

El amplificador viene embalado en doble caja de cartón. Encima de la esponja superior están las instrucciones de uso y la garantía que viene con un vistoso sello de cera roja que reafirma y sintetiza su declaración de intenciones: no hacer distinción entre lo nuevo y lo viejo y usar todo lo que sea útil y provechoso.

L’Amplificateur arrive dans une boite double carton. Au-dessus de la planche protectrice de mousse se trouvent les instructions d’utilisation et la garantie qui porte un aguichant tampon rouge qui affirme et synthétise leur déclaration d’intentions : ne pas faire de différence entre le neuf et l’ancien et tout utiliser pour autant que ce soit utile et profitable.

Descubro la bolsa de paño y aparece un amplificador integrado de magnífica factura, exquisita estética y con un color naranja alegre y cálido que contrasta con el minimalista frontal de aluminio satinado.

J’ouvre la poche de protection en tissu et apparait un amplificateur intégré de magnifique construction, à l’esthétique exquise, d’une joyeuse et chaude couleur orange qui contraste avec la plaque frontale minimaliste en aluminium satiné.

Los laterales curvados además de darle un aspecto muy atractivo a la máquina permiten asirla con facilidad lo cual es de agradecer pues el integrado pesa unos considerables 18 kilos.

L’arrondi des plaques latérales offre non seulement un aspect très attractif mais permet également une meilleure prise en main de la machine qui pèse tout de même 18kg.

La calidez de las válvulas y de la clase A y la definición de la clase D juntas, al servicio de la audiofilia podríamos barruntar ya de entrada, pero no es eso o al menos no exclusivamente eso ya que hay mucha miga en este integrado con sonido del Mar del Norte.

La chaleur des lampes et de la classe A associées à la définition de la classe D, le tout au service de l’audiophile, pourrait-on proclamer d’entrée de jeu. Or, ce n’est pas ça ou en tout cas, il n’y a pas exclusivement que ça étant donné qu’il y a beaucoup de pain à couper dans cet intégré au son de la Mer du Nord.

La electrónica exuda calidad por los cuatro costados: diseño práctico y sin añadidos superfluos o barrocos. Con un pretendido aspecto naíf encantador y sin que nada haya sido tomado a la ligera o dejado a manos de la improvisación. Hay mucha ingeniería y mucho cariño puesto en este aparato. Salta a la vista y eso sin haber puesto aún los oídos a trabajar.

L’électronique respire la qualité quel que soit le côté par lequel on l’observe : design pratique sans fioritures ajoutées ni baroque. Avec un prétendu charme naïf mais sans que rien n’ait été laissé au hasard, pris à la légère ou improvisé. Il y a énormément d’ingénierie de soin apporté à l’appareil. Cela saute aux yeux avant même que les oreilles entrent en jeu.

De nada sirve emplear materiales y tecnologías consolidadas o de vanguardia, de nada vale su exquisito diseño inspirado en la escuela de Dieter Rams si luego el zumo que se le exprime a esta naranja mecánica no tiene buen sabor, así que pasemos a la selección musical.

À quoi bon employer du matériel et des technologies qui ont fait leurs preuves associées à d’autres à la pointe de l’avant-garde, voire un design d’excellence inspiré dans l’école de Dieter Rams si le jus tiré de cette orange mécanique n’a pas le goût escompté. Passons donc à la partie musique.

LE SON

“Can you forgive her?” suena y el poderío del X250 se hace manifiestamente irrefutable. El torbellino de sensaciones físicas y emocionales que la máquina holandesa provoca, hace que sea difícil saber por dónde empezar a describir este sonido, pero tratándose de música electrónica es casi protocolario empezar por el grave: poderoso, impetuoso, seco, articulado, épico, vigoroso… Potencia y control a raudales. Tanta potencia que a 2,70 metros de distancia del punto de escucha y con el pote a un cuarto de vuelta la sala se inunda de música con picos de 93 dB y una media de 87 dB y lo hace con sumo control. Nunca en mi sala de 22 metros escasos ha habido tanto grave sonando como mandan los cánones y con tal limpieza que no lastra o enturbia el trabajo de los medios y agudos. Esto permite una conexión con la música tanto en el plano físico como el emocional. ¡Qué grave! Si me habían entrado ganas de meter un par de subwoofers en mi comedida sala, se me quitaron con un par de minutos de escucha. “extraudio” así escrito con minúsculas lo cierto es que aporta un sonido mayúsculo, con garra y punch.

“Can you forgive her?” Sonne et le pouvoir du X250 se manifeste d’emblée et de façon irréfutable. La déferlante de sensations physiques et émotionnelles que la bête néerlandaise provoque chez-moi est telle qu’il m’est difficile de savoir par où commencer à décrire ce son. Or, s’agissant de musique électronique, le protocole veut que l’on commence par la partie basse : puissant, impétueux, sec, articulé, épique, vigoureux… De la puissance et de la maitrise par flots. Si puissant qu’à 2,7 mètres de distance de mon point d’écoute et avec le potard à un quart, ma salle est inondée de musique avec des pics à 93dB et une moyenne de 87dB et le tout parfaitement contrôlé. Jamais dans ma salle de quelques 22 mètres il n’y a eu un grave selon de tels canons tout en restant propre et sans empiéter sur les médiums ni les aigus. Cela amène un contact à la musique tant sur le plan physique qu’émotionnel. Quel grave ! J’avais dans l’idée d’intégrer une paire de subwoofers dans ma modeste salle mais après deux minutes d’écoute de « extraudio » ainsi écrit en minuscule car le son est majuscule, accrocheur et avec du punch.

“Liberation” comienza y la guitarra hace cosquillas en las orejas. Suena adelantada hasta que la voz de Neil Tennant entra en escena tan suave y sedosa que podría quitarle el estrés hasta al abogado de un diputado; entonces la guitarra se atrasa un par de metros en la escena. Cuando tienes un grave tan espléndido como “educado” como éste, la zona media y los agudos se ven arropados pero no tanto que parezcan asfixiados. El amplificador deja mucho espacio para que la guitarra, los sintetizadores, el piano y los vientos puedan expresarse cerca del máximo potencial que sala y sistema permiten. Los agudos suenan como si alguien le hubiese quitado un velo a los tweeters de diamante de las Usher. Vívidos, cristalinos, efervescentes. Aquí he de remarcar que el rodaje de la máquina ha sido fundamental para limar asperezas en los agudos.

“Liberation” commence et la guitare chatouille les oreilles. Elle est mise en avant jusqu’à ce que la voix de Neil Tennant entre en scène, si douce et soyeuse qu’elle pourrait venir à bout du stress de l’avocat de n’importe quel député. S’ensuit une mise en retrait de la guitare d’environ deux mètres dans la scène. Avec un tel grave, splendide et « éduqué » que la partie médium aigu est enveloppée sans qu’elle soit asphyxiée. L’amplificateur laisse beaucoup d’espace de sorte que la guitare, les synthétiseurs, le piano et les vents puissent s’exprimer pratiquement au maximum de ce que la salle et le système permettent. Les aigus sonnent comme si un voile avait été retiré des tweeters en diamant des enceintes Usher. Vifs, cristallins, effervescents. Et je me dois de préciser ici que le rodage de l’engin ha été crucial pour limer quelques aspérités dans les aigus.

“One in a million” tiene ese tempo barre-pistas de los noventa. Cargada de electrónica, colchones de sintetizador, baterías electrónicas, riffs barrocos y todo un arsenal de trasientes que el integrado domina con solvencia y disciplina. Si alguien todavía no cree en la diferencia tan sustancial que pueden aportar algunas amplificaciones a su sistema, es porque todavía no se ha topado con máquinas como sin ir más lejos este X250 de Extraudio.

“One in a million” possède ce tempo barre pistes des années quatre-vingt-dix. Borrée d’électronique, couches de synthé, batteries électroniques, riffs baroques et tout un arsenal de

transitoires que l’intégré domine haut la main et de façon disciplinée. Si quelqu’un continue à douter de l’apport substantiel de que certaines amplifications peuvent apporter à un système, c’est sans conteste car ces personnes n’ont pas trouvé sur leur route des machines, sans aller plus loin, comme ce X250 de Extraudio.

Pasado el ecuador de la reseña el lector –y más si es un audiófilo multi-experimentado y puede que poli-escarmentado– seguro que puede albergar el sensato prejuicio de: “sí, bien, bueno; aquí tenemos un clase D –ergo digital– con música electrónica y en formato digital; pues como que se encuentra en su salsa pero ¿qué hará con música analógica, con instrumentos orgánicos y en formato analógico?” Extraudio ofrece por 400 euros + I.V.A. una sección de phono MM opcional que el integrado suministrado para la prueba lleva incluida así que cambio de formato para el segundo álbum de la reseña.

À ce stade du banc d’essai et après avoir dépassé son équateur, le lecteur - qui plus es s’il devait être un audiophile multi expérimenté, voire poli échaudé – pourrait abriter de judicieux doutes quant à l’intérêt de ce banc : « oui, ok, bon, nous avons ici un classe D – ergo digital- testé sur de la musique électronique et au format digital, donc, dans les meilleures conditions que l’on puisse imaginer. Or, quel est son rendement avec de l’analogique, avec des instruments organiques et en format analogique ? » Extraudio offre pour 400€ HT un pré-phono MM en option qui était inséré dans mon amplificateur de test. Je change donc de format pour mon deuxième album de ce banc.

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De la música electro-pop “noventera” –podemos usar ya casi sin miedo el palabro– pasamos a un disco de Jazz esencial con una magistral producción. “First Light” del trompetista Freddie Hubbard publicado en 1971 por CTI Records en una reciente reedición del sello “Pure Pleasure Records” con una esmerada cubierta gatefold y un sonido prístino y embaucador.

L’on pourrait parler longtemps de la musique électro-pop des années quatre-vingt-dix. Or, à présent, nous pouvons dire sans peur que nous allons passer à un essentiel du Jazz avec une production magistrale : « First Light » du trompétiste Freddie Hubbard, publié en 1971 par CTI Records et dans une récente réédition du label « Pure Pleasure Records » avec une couverture très réussie gatefold au son immaculé et enjôleur.

Comienza el corte que da nombre al disco. Los platillos de la batería de Jack DeJohnnette suenan centelleantes, con un timbre desnudo que permite casi saborear el metal. La trompeta de Hubbard no necesita más de diez segundos para seducirme y el Fender Rhodes de Hancock y el bajo de Ron Carter –¡vaya dos acompañantes!– van confeccionando el armazón rítmico y armónico sobre el que el largo tema se desarrolla. La capacidad de extracción de música de la máquina naranja no se malogra conforme se van agregando músicos, el tempo se acelera cuando salen las secciones de viento y cuerda a escena. Todo tiene cabida, porque todo goza de ese llamado fondo negro que se asocia al buen Hi-End y que tan difícil es conseguir en soporte analógico. La guitarra de George Benson o la percusión de Airto Moreira –dos pesos pesados de CTI– tienen en este tema de once minutos y cinco segundos tiempo de sobra para esos momentos de lucimiento personal, tan propios del jazz o del rock sinfónico, para acto seguido pasar a un discreto segundo plano sin que sean funestamente borrados de escena cuando un nuevo instrumento toma el protagonismo: a poco que uno ponga el oído en su búsqueda ahí los encuentra en el fondo de la orquesta conservando su timbre y su carisma. ¡Qué bonito el charles en los solos de batería! Y qué lirismo el de la trompeta en sus momentos de clímax.

El gran mérito de este disco de CTI es introducir tantos músicos en escena y que la cosa siga pareciendo Jazz y no uno de esos infumables discos de formaciones que perpetran versiones pseudo-orquestales de algo que no llega ni a pseudo-jazz. Un trabajo con todos los ingredientes para el desastre seguro y que con los arreglos y la batuta de Don Sebesky suena a jazz, a cine clásico, a gloria bendita. La sobreproducción es a la música como a la gastronomía esa pizca de sal de más que hace que todo sepa a sal y se pierda el auténtico sabor. Normal que se llevase el Grammy a la “mejor actuación de banda de jazz” puesto que pese a la gran cantidad de músicos que figuran en los créditos del álbum siempre sabe a “banda de jazz.”

Cela commence par le morceau qui donne son nom au disque. Les cymbales de la batterie de Jack Dejohnnette sonnent étincelantes avec un timbre nu qui donnent l’impression de goûter le métal.

La trompette de Hubbard n’a pas besoin de plus de dix secondes pour me séduire, le Fender Rhodes de Hancock et la basse de Ron Carter - sacrés accompagnateurs – établissent petit à petit la structure rythmique et harmoniques sur laquelle se déploie le long morceau. La capacité d’extraction musicale de la machine orange ne varie pas suite à l’entrée en jeu des différents musiciens, le tempo s’accélère lorsque rentrent en scène les sections à vent et à cordes. Tout est à sa place car le tout jouit de ce fameux fond noir associé à la bonne hifi High-End et qu’il est si difficile d’obtenir avec le format analogique. La guitare de Georges Benson ou la percussion de Airto Moreira - deux poids lourds de CTI - ont dans ce morceau de once minutes et cinq secondes suffisamment de temps pour mettre en avant leur génie personnel si propre au Jazz et au Rock Symphonique pour séance tenante passer discrètement à un deuxième plan sans qu’ils soient pour autant funestement sortis totalement du cadre lorsqu’un autre instrument leur vole le protagoniste. Il suffit de tendre un peu l’oreille pour les entendre en fond d’orchestre en conservant leur timbre et leur charisme. Quelle beauté que cette charleston dans les solos de batterie ! El quel lyrisme que celui de la trompette lorsqu’elle atteint son climax.

Le grand atout de ce disque de CTI est d’introduire autant de musiciens en scène et que cela continue à ressembler à du Jazz contrairement à tout un tas de disques infumables de formations qui perpétuent des versions pseudo-orchestrales de quelque chose qui ressemble à peine à du pseudo-Jazz. Une tâche comprenant tous les ingrédients pour un désastre annoncé mais qui grâce aux arrangements et à la direction de Don Sebesky ressemble à du Jazz, à du cinéma classique, à une gloire bénie. La surproduction est à la musique ce que cette pincée de sel en trop est à la gastronomie et qui fait que tout a le goût du sel et que l’on ne retrouve plus l’authenticité des ingrédients. Il ne faut donc pas s’étonner qu’il ait reçu le Grammy de la meilleure performance d’un groupe de Jazz car malgré le grand nombre de musiciens, c’est toujours du Jazz que nous écoutons.

En el segundo corte de la cara “B” titulado “Yesterday Days” la trompeta con sordina en la boca de Freddie Hubbard suena de tal manera que podría usarse en la NASA para comprobar si una forma de vida extraterrestre alberga o no sentimientos. Si no te emociona, si no sientes que las costuras del corazón te pican un poco, es que no tienes pulso ni alma.

“Menos es más” es otra de las máximas del minimalismo que la compañía holandesa lleva como lema y este previo de fono “minimalista” tiene una mínima complejidad estructural para una máxima capacidad expresiva. Es un previo de fono tan neutro que sólo transmitirá calidad y calidez si la hay entre los surcos del vinilo con el que lo alimentemos. Proporciona una escena idéntica en tamaño que la que el integrado transmite de por sí. La dinámica tanto del gran mosaico como la de las pequeñas teselas funciona en armonía y sin sobreesfuerzos.

Lástima que no ofrezcan una configuración para cápsulas de tipo MC pero aseguro taxativamente que no es que con esta MM el equipo vaya desasistido o mermado. De hecho la Ortofon MC-3 Turbo suena como nunca, gracias a este previo tan neutral y ve reafirmado su carácter “turbo” por la agilidad dinámica del amplificador. Sí, sí… no se me ha olvidado que el integrado X250 trabaja con la sección de potencia en clase “D.” Prejuicios fuera.

Dans le 2ème morceau de la face B, intitulé « Yesterday Day’s » la trompette avec sourdine dans la <bouche de Freddie Hubbard sonne de telle façon qu’elle pourrait être utilisée dans la NASA afin de s’assurer qu’une forme de vie extraterrestre abrite ou non des sentiments. Si tu n’es pas ému, si tu ne ressens aucun chatouillement au niveau des plis de ton cœur, c’est que tu ne possèdes ni pouls ni âme.

« Moins c’est plus » est un autre slogan du minimalisme mis en avant par la compagnie néerlandaise et ce préamplificateur phono « minimaliste » possède une structure minime pour une capacité expressive maximale. Sa neutralité est telle qu’il ne transmettra de la qualité et de la chaleur que si elle est présente entre les sillons du vinyle qui l’alimentera. Il offre une scène de dimension identique à celle déployée par l’intégré lui-même. La macro et la micro dynamique marchent ensemble en harmonie et sans sur efforts. Seul regret, qu’il ne soit pas offert en version MC. Or, j’assure formellement que qu’avec ce MM, l’électronique ne pêche aucunement. En fait la cellule Ortofon MC-3 Turbo sonne comme jamais grâce à ce pré-phono, si neutre et voyant réaffirmé son caractère « Turbo » du fait de l’agilité et de la dynamique de l’amplificateur. Oui, oui… je n’ai pas oublié que l’intégré travaille avec un étage de puissance en classe D. Ah, les préjugés.

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Da igual que el gato sea blanco o negro si caza tan bien los escurridizos roedores como lo hace este Extraudio X250. Lo hace con tal dinámica y buenas maneras que a veces se me antoja un gatito de pocos meses que ronronea al calor de una mesa camilla y otras un tigre que quiere rasgar sin piedad los altavoces de mis cajas acústicas.

¡Qué rendimiento no dará la opción de previo más etapa que la marca tiene en su portafolio y que promete 350 vatios por canal a 8 ohmios! Claro que para ese tigre naranja mis 22 metros cuadrados quizás sean una jaula demasiado angosta. Claro que ya sabemos lo que dice el refranero popular audiófilo: “Tú echa vatios “pa” que sobren.”

Volvemos al formato digital esta vez con un SACD híbrido del sello italiano Fonè Records que lleva por título “Confluencia” con el ensemble romano “I Musici” interpretando piezas de los sudamericanos Astor Piazzolla, Aldemaro Romero y de Héctor Ulises Passarella quien toca el bandoneón en su “Suite Rioplatense.” La Suite Rioplatense comienza con su primer movimiento “Allegro” y el duelo se adueña de la sala: Venus contra Marte aferrados a ritmo de tango. El bandoneón suena con toda su complejidad. Su esencia tímbrica no sólo es respetada sino potenciada por el integrado que tiene una agilidad innata para materializar una alta definición prolija en detalle pero nunca saturada.

En el segundo movimiento “Coral” el bandoneón suena lánguido, otoñal, melancólico. La microdinámica hace que se intuya el aire entrando y saliendo del instrumento y cada nota se percibe como un ser frágil y efímero.

Qu’importe que le chat soit blanc ou noir s’il chasse les insaisissables rongeurs comme le fait cet Extraudio X250. Il le fait avec une telle dynamique et de si bonnes manières que par moments j’ai l’impression d’avoir à mes côtés un petit chat de quelques mois ronronnant dans la chaleur de sa chatière alors qu’à d’autres instants il me semble que c’est un tigre dont la seule intention est de déchiqueter de ses griffes les haut-parleurs de mes enceintes. Que peut-on imaginer du rendement du préamplificateur XP1 et de l’amplificateur de puissance faisant partie de la gamme et dont la puissance est annoncée à 2x350 watts sous 8 Ohms ! Quoique pour ce tigre orange mes 22 m2 risquent de le mettre passablement à l’étroit. Et comme dit le populaire dicton audiophile : « Envoie des watts et qu’ils se perdent dans la nature ».

Nous retournons au format numérique. Cette fois-ci avec un SACD hybride du label italien Fonè Records dont le titre est « Confluencia » de l’ensemble romain « I Musici » interprétant des pièces des sud-américains Astor Piazzolla, Aldemaro Romero et d’Héctor Ulises Passarella qui joue du Bandonéon dans sa « Suite Rioplatense ». Elle commence avec son premier mouvement « Allegro » et le deuil s’empare de la salle. Venus contre Mars afférés sur un rythme de Tango. Le bandonéon joue dans toute sa complexité. L’essence de son timbrage est non seulement respectée mais encore exacerbée par l’intégré dont l’agilité innée vient matérialiser une définition extrême à renfort de détail mais sans la moindre saturation.

Dans le second mouvement « Coral » le bandonéon est langoureux, automnal, mélancolique. La micro dynamique permet de deviner l’air entrant et ressortant de l’instrument et chaque note est perçue comme un être fragile et éphémère.

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Hay aparatos que aportan calidez a la escucha porque el lienzo donde plasman la obra musical ya lleva color impregnado. Ya sea en forma de distorsión valvular, eufonía, redondeo. El objetivo no es otro que mecer el oído del audiófilo –curioso cual niño de 5 años– y hacerlo caer en una duermevela. Así las aristas de la música inherentes al formato, a la grabación y a la electrónica quedan suavizadas, domesticadas. Nada tengo en contra de estos aparatos porque ese truco –siempre hay truco– si se emplea bien sin caer en el abuso consigue que la música no sólo nos llegue sino que nos llene el espíritu.

Mas con el tercer movimiento “Fuga” constato que aquí no hay bálsamo, ni ungüento ni pócima que maquille deficiencias. Hay definición, potencia, dinámica, análisis y punch y todo ello con la valentía de quien prefiere pedir perdón a pedir permiso. Tanto es así que durante los primeros cuatro o cinco días de rodaje el sonido se me hacía algunas veces lacerante o algo incisivo en las frecuencias altas. Con unas 120 horas de escucha la cosa ha cambiado y mucho. No es que la máquina haya renunciado a su carácter, pero sí que se han limado dichas asperezas. Digamos que el tigre ha aprendido a dar sus zarpazos con las garras retraídas. Es como si las secciones de previo y potencia hubieran hecho su maridaje. Si antes percibía la música como sentado en la tercera fila de un concierto ahora se vive como desde una octava fila. Sigue siendo una máquina muy Hi-End pero al servicio de la música. No hay que olvidarlo.

Termino la prueba con un disco clásico de ambient de Brian Eno titulado “Apollo: Atmospheres & Soundtracks” cuyos cortes han aparecido en numerosas películas. La versión para la prueba es una reedición de Virgin Records para el mercado japonés en formato CD con cubierta Mini LP y ha contado con un remasterizado en DSD procedente del máster analógico original.

Escojo este disco porque Brian Eno empleó Echo, Delay y Reverb para conseguir que las notas alargasen su vida natural y se solapasen unas con otras. Justo el efecto que una mala electrónica hace sin querer cuando se le exige un pasaje musical rápido y complejo. Justo lo que este integrado no hace: apelotonar los sonidos. El objetivo no es otro que comprobar cómo se comporta con la microdinámica, con el detalle y con los silencios en una forzada cámara lenta donde las notas musicales parecen alargarse y derretirse como los relojes de Dalí.

Comienza el disco con “Understars” el tema recurrente del disco que sirve de armazón y que se repite en el medio del álbum con el título “Understars II” y en su cierre con el nombre “Stars” aunque con ligeras variaciones en ambos casos.

El sintetizador suena con frases gaseosas y la guitarra de Daniel Lanois bien podría sonar en una escena de un duelo a muerte en un western de Sergio Leone. El álbum se gestó como banda sonora para el alunizaje del Apollo XI. Cómo no imaginar el desierto de Almería como un paisaje lunar. No es el único corte del disco que suena a Far-West selenita.

La segunda pista titulada “The Secret Palace” hace que el grandilocuente grave sintético plagado de reverb suene titánico. La sala se condensa y la entrada a una enorme cueva se me antoja en mi imaginación. Minimalismo ambiental: decir mucho con muy poco.

“Matta,” la tercera pista, me recuerda a un animal nocturno bebiendo agua de una charca mientras el resto de fauna le sirve de coro ambiental. La profundidad de la escena no sólo se mide en supuestos metros imaginarios sino en el estado emocional que nos provoca y aquí el X250 es toda una máquina teletransportadora.

Pero su tema estrella es para mí “An Ending (Ascent)” una suerte de canon y fuga electrónica que verdaderamente podría haber sonado en la Ascensión de la Virgen María y que hace que el alma levite. Nunca se le ha sacado mejor sonido al sintetizador Yamaha DX7 que con este disco y en especial con esta pista. La sensación de inmediatez, de música desnuda en su génesis, hace que las cajas casi desaparezcan por completo y el gran mérito de esa sensación la tiene el control tan taxativo y la fidelidad que el amplificador mantiene en todas las frecuencias. Sonido lineal que no aburrido.

Para mí todos los temas son memorables pero para cerrar la reseña me quedo con otro que ha aparecido en muchas bandas sonoras. Se titula “Deep Blue Day” y es el vals country que escucharía cualquier vaquero del espacio en una cantina sideral. Las guitarras suenan estelares y reflejan la luz de un día radiante en una suerte de cinéfila sinestesia. Es un tema que se baila con la mente pero

también con tímidos contoneos de la cabeza. Poesía sin palabras. La sensación de plenitud y serenidad que inocula no se consigue con ningún fármaco legal o ilegal. Esto es música.

Certains appareils apportent de la chaleur à l’écoute car la toile sur laquelle est imprimée l’œuvre musicale porte sa propre couleur. Tant sous forme de distorsion des lampes, euphonique que sous forme de rondeur. L’objectif n’est autre que celui de plonger l’ouïe de l’audiophile - curieux comme un gosse de cinq ans – dans un état de somnolence. De telle sorte que certaines aspérités de la musique inhérentes au format, à la prise de son ou à l’électronique utilisée soient adoucies, voire amadouées. Je n’ai rien contre ces appareils car ce subterfuge - il y a toujours un subterfuge - s’il est utilisé à bon escient, sans tomber dans l’excès, a le mérite de, non seulement, nous faire parvenir la musique mais également celui de remplir notre esprit.

Or, avec le troisième mouvement « Fuga », je constate qu’ici, il n’y a pas de baume, d’onguent ni de filtre pour maquiller les défauts. Il y a de la définition, de la puissance, de la dynamique, de l’analyse et du punch et le tout avec la vaillance de celui qui préfère demander pardon plutôt que la permission. À tel point que durant les premiers 4 à 5 jours je trouvais le son lacérant ou trop incisif dans certaines fréquences hautes. Au bout d’environ 120 heures d’écoute, les choses ont changé. Et de quelle manière. Non que la bête ait renoncé à son caractère mais les aspérités ont été limées. Disons que le tigre avait appris à rentrer ses griffes. C’est comme si la partie pré amplificatrice et la partie puissance avaient consommé leur mariage. Si dans un premier temps je percevais la musique comme si j’étais assis en troisième file d’un concert, à présent, j’ai l’impression de me retrouver en huitième. C’est toujours une machine très High-End mais au service de la musique. Faut pas l’oublier.

Je finis le banc avec un classique de la musique « ambient » de Brian Eno : « Apollo : Atmospheres & Soundtracks » dont certains passages ont été utilisés dans de nombreux films. La morceau utilisé pour le test est une réédition de Virgin Records pour le marché japonais au format CD avec une couverture de Mini LP et a été remastérisé au format DSD extrait du master analogique original.

J’ai choisi ce cd car Brian Eno a utilisé de l’écho, du delay et de la reverb pour faire en sorte que les notes étendent leur durée de vie naturelle et s’entremêlent les unes aux autres. Juste l’effet que reproduit une mauvaise électronique sans faire exprès et lorsqu’on lui exige en revanche une reproduction musicale rapide et complexe. Exactement ce que cet intégré ne fait pas ; empiler les sons. L’objectif n’étant autre que celui de vérifier son comportement au niveau micro dynamique, au niveau du détail et à celui du silence dans un ralenti forcé où les notes semblent s’allonger et fondre au soleil telle une montre molle de Dalí.

L’album commence avec « Understars », un morceau récurrent dans le disque servant à structurer l’ensemble, que l’on retrouve en milieu en milieu d’album sous le nom de « Understars II » puis en fermeture sous le nom « Stars » quoi qu’avec quelques légères variations dans les deux cas.

Le synthétiseur envoie des phrases gazeuses et la guitare de Daniel Lanois aurait pu se retrouver dans une scène d’un duel à mort d’un western de Sergio Leone. La gestation de l’album a été menée à bout dans le but d’être utilisé comme bande sonore pour l’alunissage de l’Apolo XI. Comment ne pas imaginer le désert d’Alméria comme paysage lunaire. Ce n’est pas le seul passage de l’album qui sonne à Far ouest sélénique.

La deuxième plage “The Secret Palace” fait en sorte que le grandiloquent grave synthétique criblé de réverbération sonne titanesque. La salle se condense et j’ai l’impression de rentrer dans une énorme caverne. Minimalisme d’ambiance : En dire beaucoup avec très peu.

“Matta,” la troisième coupe, me rappelle un animal nocturne s’abreuvant dans une flaque pendant que le reste de la faune lui fait office de chorale d’ambiance. La profondeur de la scène ne se mesure pas uniquement en une supposée métrique imaginaire sinon dans l’état émotionnel dans lequel cela nous plonge. Et là, le X250 devient une véritable machine de télé transportation. Or, la véritable star de l’album est pour moi “An Ending (Ascent)”. Une sorte de canon ou de fugue électronique qui aurait véritablement pu sonner lors de l’ascension de la Vierge Marie, plaçant notre âme en lévitation. Je ne crois pas que l’on n’ait jamais sorti quelque chose d’aussi bon du synthétiseur Yamaha DX7 qu’avec cet album et cette plage musicale. La sensation d’immédiat, de nudité de la musique dans sa genèse font en sorte que les enceintes disparaissent pratiquement

totalement et tout le mérite de cette sensation revient au contrôle si marqué et à la fidélité que l’amplificateur maintient sur toutes les fréquences. Linéarité n’est pas ennui.

Pour moi, toutes les plages sont mémorables mais j’en choisirai une dernière pour conclure ce banc, elle a été utilisée dans beaucoup de films. “Deep Blue Day” la valse country qu’écouterait tout cowboy dans une cantine sidérale. Les guitares sont stellaires et reflètent la lumière d’une journée radieuse de cinéphilie synesthétique. C’est un morceau qui se dance avec l’esprit mais également avec des petits mouvements de tête. Poésie sans mots. La sensation de plénitude et de sérénité qui nous imprègne ne peut être obtenue avec aucune des substances légales ou pas du marché.

Ceci est de la musique.

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CONCLUSION

El X250 ofrece una escena algo adelantada que favorece la sensación de directo. No es nada tímido en los agudos y necesita de rodaje previo para amansarlos un poco. Dicha escena se percibe como tridimensional en gran medida por la extraordinaria gestión del grave medio y extremo de la que la electrónica hace gala. Como todas las frecuencias encuentran su espacio vital para desarrollarse dentro del espectro sonoro, nada parece apretado. También ayuda, y de qué manera, la dinámica y músculo del aparato, que consigue una cuantización tan perfecta que las notas no sólo nacen cuando tienen que aparecer, sino que mueren y callan cuando y como marca la música, permitiendo que los decays, los desvanecimientos, las colas, las reverberaciones, los ecos y los retardos suenen creíbles, limpios y sin aturullamiento.

La máquina se vuelca en el análisis, juega a la arqueología analógica y digital y sin embargo no suena estéril, artificial o lo que sería mucho peor, cansina.

Pese a tener su sección de previo a válvulas y en clase A no es un equipo que suene valvular en cuanto a que de un sonido eufónico o edulcorado. Este X250 no tiene piedad con los discos mal grabados, pero también hay que decir que exprimirá todo lo bueno que haya en ellos porque suena “cool” en sus dos sentidos: fresco y genial. Las válvulas del previo sí que trabajan para proporcionar una escena grandiosa pero con un foco tremendamente definido. Todo ello sobre el fondo negro que ha de tener todo Hi-end que se suponga de primerísimo nivel.

Esta nueva clase “AD” consigue un sonido a medio camino entre el músculo de la clase AB y la suavidad de la clase A pura. Dota a la maquina de vatios, corriente y potencia a raudales, pero con un consumo eléctrico muy contenido. Tras horas y horas de escucha la tapa del integrado apenas si se siente un poco más caliente que los 24 grados que hay en la sala. Ya bastantes sustos y arritmias da la factura del suministro eléctrico en estos meses de verano por culpa del aire acondicionado, como para añadir otro agujero negro “Hi-End” consumiendo kilovatios con gula y descontrol. Además, el dinero que uno ahorra en energía siempre lo podrá invertir en ampliar su discoteca y si encima lo hace comprando alguno de los discos que he empleado en la prueba me sentiré cándidamente agradecido.

Le X250 offre une scène quelque peu avancée qui donne une impression de direct. Il est loin d’être timide dans les aigus et il lui faut un peu de temps de rodage pour les dompter. La scène est tridimensionnelle. En grande partie du fait de la gestion extraordinaire du médium et de l’extrême grave dont il fait étalage. Étant donné que toutes les fréquences trouvent leur espace vital à l’intérieur du spectre sonore, rien ne semble serré. Aidé, et de quelle manière, par la dynamique et la vigueur qui sont les siennes il arrive à une quantification si parfaite que les notes ne naissent pas seulement quand elles doivent apparaitre mais meurent et disparaissent également au moment et de la manière dictée par la musique et permettant de la sorte aux décalages, aux fins de notes, aux queues, aux réverbérations, aux échos et aux retards de notes de sonner de façon véridique, limpide et sans amoncellement. La bête se jette à corps perdu dans l’analyse, elle joue à l’archéologue analogique et digital sans jamais se montrer stérile, artificiel ou, pire encore,

fatiguant. Malgré sa sortie à lampes, cette électronique ne restitue pas le son comme l’on pourrait s’y attendre d’un classe A dans cette configuration avec un son euphonique ou édulcoré. Ce X250 n’aura aucune pitié avec les piètres enregistrements mais il faut dire aussi qu’il en extraira tout ce qui est enfoui de bon dedans car il a un côté cool dans les deux sens : frais et génial. En effet, les deux lampes œuvrent à recréer une scène grandiose tout en restant impitoyablement focalisée. Le tout sur un fond noir que toute machine High-End se doit de respecter pour faire partie du top du top. Cette nouvelle classe AD réussit à offrir un son à mi-chemin entre le nerf de la classe AB et la douceur de la pure classe A en dotant la machine de watts, de courant et de puissance à revendre tout en faisant preuve de beaucoup de sobriété quant à la consommation. Après de heures et des heures d’écoute le couvercle est à peine plus chaud que la température ambiante de 24 degrés. On a déjà assez d’angoisse et de sauts du cœur lorsqu’arrive la facture d’électricité durant ces mois d’été où l’air conditionné tourne à fond pour qu’il faille rajouter un énième trou noir High-End consommant des kilowatts sans contrôle et avec gourmandise. Au pire, l’argent économisé sur la facture d’électricité pourra être utilisé pour agrandir sa discothèque et si, par-dessus le marché, ces petits sous sont destinés à l’achat de l’un des disques utilisés pour ce banc d’essai, je me sentirais humblement honoré.

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