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Les Câbles !

 

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Voilà un domaine bien épineux et controversé dans la vie de tout audiophile !

 

Et je me souviens de ma grande désillusion lorsque suite à avoir testé pas mal

de différents câbles et après être arrivé à la très commode conclusion que, s’ils

avaient une influence sur le son, ce n’était pas nécessaire de se ruiner dans leur achat,

un ami est venu chez-moi un beau jour de printemps, tout excité car il avait trouvé

le graal.

Je me suis dit : « Encore un qui va tenter de me convaincre de dépenser une fortune

dans des bouts de fil alors qu’il est beaucoup plus approprié d’investir cet argent

ailleurs dans des éléments du système ; un dac, un préampli, des enceintes, etc. Ou

dans un grand voyage qui m'attirera toutes les faveurs ma chère et douce… »

 

Et je parle de désillusion car lorsque cet ami est reparti avec ses câbles, je me suis

retrouvé seul, et déjà incompris, avec mon système tel un orphelin. Comme un

père aussi qui, par pingrerie refuse de donner ce qu’il y a de mieux à sa progéniture.

Tous ces enfants qui composaient mon système, criaient dans ma tête en m’implorant

de mieux les alimenter. Je ne pouvais plus me tromper moi-même en me voilant la

face derrière les théories objectivistes en absolu accord avec mon portemonnaie et

les faveurs de ma chère et tendre, qui jusque-là m’avaient mensongèrement satisfait.

Je crois que tout audiophile qui se respecte, ou pas, a connu à un moment de son

cheminement ce grand moment de solitude où l’on se met à regarder sa compagne

furtivement et de travers. À moins qu’elle soit elle-même audiophile. En encore !

 

Comme je suis un père attentif aux caprices de mes enfants, je me suis donc retrouvé

à dépenser environ 25% de tout ce que j’avais déjà investi dans le bien être des

bambins qui composaient mon système.

Par la suite, nombreux ont été les amis audiophiles qui, par même amour paternel, m’ont

suivi dans l’investissement de cette même marque de câbles.

 

Alors bon, soyons sérieux ! Et ne confondons pas tout !

 

Étant tous d’accord sur l’importance du câblage dans un système hifi, du câble

numérique jusqu’à la fin de la chaîne avec les câbles hp en passant par les câbles secteur,

de modulation et dernièrement pour ceux qui utilisent une liaison filaire sur leur lecteur

réseau avec les RJ45, certainement dans ce cas, l’une des liaisons les plus cruciales, je  

me propose d’exposer le positionnement d’Extraudio par rapport à la question des câbles.

 

Suivant la philosophie de la marque « Less Is More », pour Extraudio, le meilleur câble est

celui qui ne s’entend pas. C’est simple mais complexe à la mise en œuvre. Car conscients de

l'influence des câbles, qu’est-ce qu’un câble qui ne s’entends pas ? De simples câbles EDF

pourraient, du coup, suffire ! Malheureusement, c’est parmi ceux qui s’entendent le plus.

 

Sans rentrer dans les détails techniques des méthodes utilisées pour y arriver ; type de

matériau utilisé et les divers mélanges entre eux suivant leur fonction, système de filtrage,

sortes d’isolants, longueurs, fiches, cryogénisation ou pas, etc. Nous avons fini par mettre

au point notre propre câble, unique sur le marché, qui se compose de cuivre mélangé à

du graphite à travers un processus de plusieurs cuissons à très hauts degrés. Les étapes

pour obtenir ce matériau de base sont nombreuses et coûteuses mais les résultats sont à la

hauteur de nos attentes. Nous l’utilisons dans toutes nos gammes de câbles non

numériques : câbles secteur, câbles de modulation et câbles hp. Pour les câbles numériques,

les méthodes et les matériaux utilisés varient selon qu’il s’agisse d’un câble spdif, d’un

câble USB ou d’un câble LAN.

En effet, un câble USB ou LAN transporte un message qui a davantage à voir avec des

données informatiques et ses conditions spécifiques de transmission qu’un câble spdif.

Et le message transmis en USB est très différent de celui véhiculé en RJ45, les appareils

qui le génèrent et le transmettent sont passablement différents. C’est la raison pour laquelle

nous  avons appliqué à nos câbles numériques des matériaux, des méthodes de construction et d’isolation qui ont, entre eux, très peu en commun. 

 

Pour les câbles, disons analogiques, nous utilisons donc notre matériau maison.

La graphite mélangé au cuivre permet non seulement une purification à l’extrême de ce

dernier mais renforce également sa conductivité tout en le rendant moins résistif auquel

nous appliquons ensuite un procédé d’isolation entre câbles et autour que nous

complétons par l’ajout d’une bague de filtrage composée d’un mélange de divers types

de matériaux dont le but est d’absorber toute une variété d’interférences inclus parfois

celles de notre bien aimée. S'ensuit l'étape finale de cryogénisation, Madame y compris.

Le tout afin d’atteindre notre but qui est de faire en sorte que les câbles laissent passer un

maximum d’information de la façon la plus neutre et naturelle possible afin que les

différents éléments du système puissent s’exprimer au mieux de leurs caractéristiques et

qualités.

 

Comme exprimé plus haut, nous ne considérons pas chez Extraudio que les câbles soient

dévolus à une quelconque équalisation du système, voire pour tuner ce dernier ni le

compenser ni l’équilibrer d’aucune façon. C'est pour nous le rôle des appareils en

eux-mêmes, l’usage et l’association qui en sera faite avec les enceintes et la pièce d’écoute.

 

C’est la raison pour laquelle nous proposons 3 gammes : One, Two et Three, et cela ne

tient qu’au type de système et des appareils qui le composent ainsi qu’aux caractéristiques

de la pièce qu’ils devront mettre en musique.

 

Pour donner une exemple, la demande en courant n’est pas la même qu’il s’agisse de tout

type de source ou de petits amplis en classe D par rapport à certains amplis plus exigeants

en classe D ou AB mais surtout en classe A ou certains amplis à lampe extrêmement dévoreurs

en courant. Et pareil pour les enceintes et les dimensions de la pièce qu’elles devront remplir.

La signature sonore reste par conséquent la même qu’il s’agisse d’un câble One ou Three.

 

Nous préconisons en revanche l’utilisation des câbles de la gamme One pour alimenter tout

type de sources ou de petits amplis peu friands. Pareil pour les câbles de modulation

selon la demande des appareils et de même pour les câbles hp. Et le tout en assumant

que le système soit équilibré. C’est-à-dire que la puissance du système soit adapté aux enceintes devant être alimentées et que ces dernières soient adaptées à la pièce.

La dimension des enceintes devrait normalement être adaptée aux dimensions de la pièce et

plus cette dernière est étalée davantage devront l’être les enceintes ainsi que la puissance en

watts et en courant des amplis auxquels il incombera de les mettre en œuvre.

 

Nous proposons donc nos câbles One pour des petits systèmes sans tenir compte de leur

qualité intrinsèque. Les Two pour des systèmes de moyenne forte puissance et les Three

pour de grosses implantations ayant comme rôle de remplir de vastes pièces.

Il ne sert de notre point de vue donc à rien d’alimenter un dac avec un câble secteur Two,

encore moins avec un Three. Pareil pour les câbles de modulation et pour les câbles hp.

 

La différence entre ces trois gammes de câbles analogiques consiste en grande partie dans le

fait que les sections de câble sont soit augmentées soit multipliées selon la fonction du

câble. C’est, en principe, aussi simple que ça.

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