Encore un de ces Vieux de la Vielle

Ultra Analog 20400.

 

Non, il ne m’a pas déçu !

C’est le moins que je puisse dire.

 

L’Usine.

Nucléaire.

L’intérieur de cette centrale est si impressionnant

que je n’ai pas pensé à le prendre à son dépourvu

tout habillé. Les photos du boitier sont donc

tirées du net.

 

C’est le troisième dac avec ces satanées UA 20400

que j’ai le privilège de tester.

Pour rappel, il y avait eu le Audio Research Dac2

et le Sonic Frontier SFD1 Mk2.

Les trois dac sont différents mais je retrouve dans chaque, cette sensation de naturel et de tempo au couteau.

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Ce Reflink LS se démarque des autres par son ampleur, sa dynamique du fait de son élevée sortie en voltage j’imagine et avec une partie

basse très ample tout en restant maitrisée. Parfois, il en fait presque un peu trop et il peut devenir fatigant à la longue tellement ça tape.

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Je mets toujours le niveau de volume à fond et je le gère par la suite depuis mon préampli Extraudio ou ampli intégré. Il suffit de baisser d’un cran le niveau de volume maximum pour qu’il se calme, devienne beaucoup plus doux, et apaisé. Dans ces conditions, aucune fatigue ne se fait sentir tout en préservant son tempo de métronome.

 

Avec Roon, je peux lui envoyer du 24/48 kHz.

Il devient ainsi encore plus dynamique,

précis et tueur mais il perd une nouvelle fois en facilité d’écoute et en fluidité. Cela dit, selon le type de musique écoutée ; Métal, électronique par exemple, c'est intéressant.

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Le mien avait été totalement révisé

par un passionné ukrainien qui

l’a totalement recapé. Il avait également

remplacé les trois transfos d’origine en 120V

par trois merveilleux transfos toroïdaux en

220V. Il est finalement parti chez un ami car

ce n’est pas le genre d’engins que je mets en

vente vu la difficulté à les trouver. Si j’étais

collectionneur dans l’âme et vu l’état de

l’engin, il n’aurait jamais

quitté ma chaumière.